Description
Dans son ouvrage, André Georges raconte cette passion qui I’habite alors qu’il est jeune apprenti électricien. Dans les premières pages, on devine cette fièvre de conquête, cet appétit de grand air et d’affrontement avec la montagne; on le devine à l’ellipse de l’écriture, à la rapidité de l’énoncé; c’est comme un journal de bord, comme un agenda rétrospectif où l’on ne note que l’essentiel. André Georges dit parfois ses itinéraires sous la forme d’une énumération et d’une liste de consignes, où l’émotion compte davantage que la syntaxe, où le langage est plus proche de la forme parlée que de l’écriture littéraire…